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La section de compréhension en lecture du LSAT peut vous présenter des passages de différentes longueurs, mais les passages exigeront tous que vous soyez un lecteur critique et avoir de bonnes capacités de compréhension.
Les questions de cet article se réfèrent au passage suivant.
"Puissance" est un terme générique qui doit être distingué du terme plus spécifique "autorité". «Lorsque la partie A demande à la partie B de faire ce que B n'aurait pas fait autrement, la partie A a exercé son pouvoir. Le pouvoir prend de nombreuses formes et apparaît différemment dans les histoires d'Alexandre le Grand et de son temps.
Les politiciens et les locuteurs publics dans les États grecs ont démontré des pouvoirs de persuasion qui, à différents moments, ont modifié différemment le cours des événements. Seuls ceux qui ont un certain degré de pouvoir deviennent des acteurs dans les histoires politiques. Plus intéressant est la manifestation particulière du pouvoir que nous appelons l'autorité.
En tant que tel, l'autorité implique une asymétrie dans la relation entre le locuteur et l'auditeur. Parce que l'autorité exige l'obéissance, elle est associée au pouvoir coercitif, et parce qu'elle opère dans le discours, elle est associée à un pouvoir persuasif.
Le discours d'autorité repose sur l'identité du locuteur, sa relation avec le public et la perception de l'interlocuteur par le public. La coercition et la persuasion peuvent soutenir cette relation, car les auditeurs supposent soit que des conséquences désastreuses résulteront de la désobéissance ou qu'il doit y avoir de bonnes raisons d'obéir. Mais pour voir l'autorité en action, la coercition et la persuasion doivent rester à l'arrière-plan, occultées.
Si l'auditeur exige une raison pour une commande ou s'interroge sur les conséquences de la désobéissance, l'autorité du locuteur vacille. À ce stade, l'autorité peut céder la place à la persuasion (si l'orateur plaide en faveur de la commande) ou à la force nue (si le locuteur menace), ou elle peut être réaffirmée en invoquant la position privilégiée et autoritaire de l'orateur: alors! "
Alexandre lui-même jouissait de différentes sortes d'autorité à différents moments: chef acclamé, premier parmi ses pairs, des Macédoniens, président du Traité de Paix Commune en Grèce, Grand Roi en Perse, et divinité terrestre à d'abord aux Egyptiens (qui étaient habitués à de telles choses) et plus tard à beaucoup de Grecs.
D'autres Macédoniens détenaient aussi l'autorité, à divers moments, soit par association avec Alexandre, soit selon leurs propres capacités et positions.
Lequel des énoncés suivants énonce le mieux l'idée centrale de ce passage?
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(A) Le pouvoir et l'autorité sont la même chose mais on en parle différemment selon que la personne exerçant le pouvoir est un leader politique.
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(B) Le pouvoir est une sorte d'autorité qui vient d'un discours persuasif et de la menace d'une force coercitive.
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(C) L'autorité est une sorte de pouvoir qui ne dépend pas explicitement de son effet sur la persuasion ou la coercition.
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(D) Alexandre était unique parmi les anciens rois dans l'exercice du pouvoir et de l'autorité, mais son général, Antipater, était aussi puissant.
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(E) Alexandre exerçait le pouvoir parmi les Grecs, mais comptait sur l'autorité pour gouverner les Macédoniens, les Perses et les Égyptiens.
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La fonction principale du deuxième paragraphe du passage est de
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(A) discuter de l'utilisation de l'autorité par Alexandre le Grand
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(B) explorer les aspects du concept d'autorité et son association difficile avec coercitive et puissance discursive
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(C) implique que sans pouvoir coercitif, il n'y a pas d'autorité
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(D) critique les érudits qui ont suggéré différentes définitions de l'autorité
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(E) suggèrent que l'autorité d'un locuteur faiblit si Que veut dire l'auteur par le mot "occulté" à la ligne XX?
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(A) exprimée
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(B) sous-estimée
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(C) cachée
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(D) magique
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(E) accostée
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Selon le passage, quelle est la différence entre puissance et autorité?
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(A) L'autorité est un terme générique pour créer un effet par la persuasion, tandis que le pouvoir implique une force coercitive.
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(B) Le pouvoir est un terme générique désignant la capacité de faire faire quelque chose à quelqu'un; l'autorité est une forme particulière de pouvoir, la capacité de commander sans persuasion ou coercition explicite.
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(C) L'autorité est exercée en vertu d'une fonction politique, alors que le pouvoir exige un commandement militaire.
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(D) Le pouvoir existe aux yeux des gouvernés, tandis que l'autorité réside dans celui qui l'emploie.
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(E) Le pouvoir est un terme générique désignant la capacité de faire faire quelque chose à quelqu'un; l'autorité est une forme particulière de pouvoir, la capacité de commander en appliquant habilement la persuasion et la coercition selon les besoins.
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Clé de correction
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C. L'autorité est une sorte de pouvoir qui ne dépend pas explicitement de son effet sur la persuasion ou la coercition.
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B. explorer les aspects du concept d'autorité et son association difficile avec le pouvoir coercitif et discursif
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C. caché
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B. Le pouvoir est un terme générique désignant la capacité de faire faire quelque chose à quelqu'un; l'autorité est une forme particulière de pouvoir, la capacité de commander sans persuasion ou coercition explicite.
